Release Date : 14 Dec 2009
LabelCode : va032
Format : 12″ Vinyl / Digital

Notre cher Argentin Nico Purman, bientôt arrivé en pays teuton, revient en force pour une troisième sortie fermement attendue sur le label Vakant, une sortie animée d’un groove boycottant les fondements basiques du genre.
L’empreinte de Purman n’en finit pas d’évoluer, à des kilomètres de ses anciennes productions. Depuis son tout premier EP Tuesday (VA017) ainsi que de celui d’après intitulé Euphrasia (VA025), Nico nous envoie cette fois-ci trois pièces maîtresses astro-jazzy qui ont fermenté dans une concoction de house new-yorkaise du milieu des années 1990.

Le premier morceau, « Why What », est un endroit où Nico nous envoie dans une ambiance quelque peu feutrée, dans l’esprit d’une musicalité très proche de Chelsea, qui a inspiré notamment Danny Tenaglia. Le morceau semble pris dans un va-et-vient à la Blue Note où Rollins, Monk et Roach feraient partis de la fête, lorsqu’on écoute vers la fin du morceau les notes de piano.

Suit ensuite « Funk Forest » avec plus de punch, moins mélancolique que le premier morceau. Une bonne ligne de basses et des percussions qui « bullent », effervescent mélange croisé du vocal d’une diva qui semble murmurer dans votre oreille avant qu’un Herbie Hancock des années 70 plaque un synthé et vous supplie de taper en l’air avec vos mains.

Le dernier morceau, « Chamomile », un tantinet jazzy, nous plonge dans une timide atmosphère où une conversation s’établit entre un piano et un saxophone, portés par un zeste de fraîcheur tout le long du morceau.

Nico Purman, our Argentinean (soon to be Berlin based) drumline captain and all around groove slinger is back for his third instalment on the marching band in the sky that we call Vakant.
Purman’s sound continues to evolve, covering truly large distances with every release. Since his robostrobe inspired earlier Vakant works Tuesday EP (VA017) and Euphrasia EP (VA025), Nico drops 3 large-and-very-much-in-charge space jazz masterpieces that he fermented in what sounds like a midninetiesNew York house basement.

First up is ‘Why What’ where Nico sets the free-flowing rhapsodic mood that covers so much ground with one track. Starting in what sounds like Tenaglia’s beloved Chelsea, the track slowly moves uptown landing at the Blue Note where Rollins, Monk, and Roach sit in on the session.

‘Funk Forest’ follows with more pep and less mood. Upbeat and popping percussion blend with Rhodes while a diva whispers in your ear until late seventies Hancock shows up with his synth and brings the hands way up.

‘Chamomile’ finishes the EP off in style. Moody while maintaining the jazz feel, “Chamomile” peaks with futuro baritone sax and piano in unison. Smooth and steady all the way.