On revient cette semaine sur un autre genre de house music avec le label néerlandais Slapfunk. Lancé en 2012 en plein revival de la house du New Jersey, relancée principalement par le label français My Love Is Underground, Slapfunk a participé à l’éclosion de producteurs de talents comme Samuel Deep ou Malin Génie.
On commence avec le morceau « Don’t Give Up » de Anil Aras, originaire des Pays-Bas. Hyper festif, il est sorti en 2012 sur la première release du label, un various.

Nick Putman aka Malin Génie originaire des Pays-Bas sort son premier EP en 2011 sur le netlabel Family Matters Records. Le deuxième sortira en collaboration avec le jeune français Lazare Hoche sur son propre label. Une première expérience réussie qu’il réitereront en 2013 pour un album et en 2014 pour un autre maxi.

L’EP « Sancta Simplicitas » sort lui en 2012 sur Slapfunk et comprend 4 titres house et 1 hip-hop.

La huitième sortie de chez Slapfunk, de 2014, est plus UK qu’à l’accoutumée.
La face A est signée Kumarachi, un bonhomme de Nottingham, et ça se ressent : broken beat, grosse wobble, bref un morceau garage bien pesant.

Larry De Kat comme Slpafunk est originaire des Pays-Bas. Il sort son premier EP en 2012 sur Times Are Ruff, son premier album en 2013 sur Lazare Hoche Records.

« Splittin’ Atoms » sort en 2014 sur un various chez Slapfunk, et est un morceau à la fois brut et plein de groove, qu’on imagine aisément dans les djs sets d’artistes assez différents.

« Concrete Groove » est un banger, fait pour détruire un dancefloor à coup de marteau.
Robert Vosmeijer aka De Sluwe Vos le sort en 2013 sur Slapfunk, après des sorties chez Extended Play ou 4Lux.