Comme  chaque semaine, Input Selector vous emmène dans les coulisses d’un label au rythme d’un track par jour. Voilà le récap de la semaine consacrée au label Curle Recordings.

Cette semaine on vous parle de Curle Recordings ! Sorti aujourd’hui sur le dernier maxi de Lucy, ce remix dévastateur devrait en conforter plus d’un. La chronique de l’EP sur le site.

Toujours chez Curle, 3e du nom, le morceau Acid Bells d’Efdemin, qui bien que datant de 2007 pourrait presque déjà être classé dans les classics. Les clochettes acides ont déjà vrillé plus d’un cerveau…

Rien de mieux qu’une douce mélodie pour nous détendre en ce mercredi parce que chez Input, nous sommes des mecs sensibles. 13ème sortie de Curle, le français Anthony Collins, aussi connu pour son passage chez les Freak’N’Chic ,nous installe dans un cocon par le biais d’un riff de guitare. Un track à l’univers intriguant mais pourtant envoûtant.

Stewart Walker est un personnage mystérieux, un pionnier du live techno ayant produit pour des labels légendaires tels que Matrix Records, M_nus ou Tresor. Il reste cependant un producteur assez méconnu du public. Ce véritable techno hero nous délivre sur Curle Recordings un EP où l’on retrouve sa patte, un savant mélange entre expérimentation et recherche mélodique, le tout créant une atmosphère très particulière. Shipwrecked s’écoute aussi bien chez soi qu’en club !

L’argentin Jonas Kopp, 31 ans, dont 12 passés à produire, nous délivre ici un morceau techno house de haute volée. Sorti en 2009 sur Curle, Deliric délivre un groove à faire danser les morts.

Question deeptitude Curle sait aussi nous régaler. Pablo Bolivar, originaire du pays de la sangria, a réussi sur ce morceau a nous donner l’impression que solidité du rythme et légèreté ne font qu’un. Véritable beauté stellaire, « The Spark » ajoute un soupçon de douceur dans le catalogue du label belge.

Il n’y a que Frank Martiniq qui sache maîtriser une techno onirique. Le producteur allemand nous emmène dans un paysage peuplé d’irréductibles sonorités bleep, traversant avec nonchalance une mélopée lourde de frissons. Quoi de mieux pour clore notre clin d’oeil sur Curle : ce morceau s’enroule dans notre tête comme une écharpe à notre cou.