Website : chinesemanrecords.com

Qui sont-ils, d’où viennent-ils ? Pourquoi les disciples du Chinese Man veulent-ils répandre le bon son ? Pour les membres de la confrérie de l’homme chinois, le beat est au centre de toutes les préoccupations, à la base de tous les Katas… C’est nourri de ces pensées que Zé Mateo, High Ku et Sly fondent en 2004 entre Aix en Provence, Marseille et le Mont Wu Tang, le label indépendant Chinese Man Records afin de pouvoir créer une école suffisamment groovalistik et regrouper producteurs, beatmakers, djs, graphistes, videomakers et vidéastes.

Porté par le label Chinese Man records, le groupe Chinese Man est créé en 2005 à l’occasion de la sortie de son premier maxi vinyl « The Pandi Groove EP », tiré à 500 exemplaires. Suivront en 2006 et 2007, « The Bunni Groove EP » et « The Indi Groove EP » pressés chacun à 1.000 exemplaires. Symbole des multiples influences du collectif, ces premiers vinyls ouvrent la voie d’un Hip Hop instrumental puisant dans de multiples influences : Funk, Dub, Musiques Traditionnelles…

Le groupe Chinese Man voit l’un de ses titres « I’ve Got That Tune » sollicité par Mercedes pour la musique d’une de ses campagnes publicitaires. Profitant de cette visibilité et de cette reconnaissance subite, le label Chinese Man Records produit « The Groove Sessions Vol.1 », un premier CD regroupant les précédents maxis de Chinese Man et dont les 10.000 exemplaires seront vendus en moins de 6 mois.

Aujourd’hui Chinese Man records assure la production et le management de cinq compositeurs et de trois DJs. Il collabore également avec un grand nombre d’artistes en France et aux USA. En 2008, le label produit trois nouveaux maxis vinyls (Small City Music by Sly – Le Pudding by Leo le bug – Hong Kong Dragon Speaking by Chinese Man). Aboutissement de ces rencontres et de ces différentes sorties, le label produit en 2009 « The Groove Sessions Vol.2 » , second opus très attendu des aventures des disciples de l’esprit zen.

Soutenu par le magazine Vibrations, coup de cœur du réseau FNAC, porté et playlisté sur les antennes de Radio Nova, cette nouvelle sortie connaît rapidement un succès critique, public et commercial retentissant.
Depuis ses débuts, le collectif Chinese Man Records se charge également de la production et de la réalisation de ses propres vidéos clips. En 2008, Fred & Annabelle, deux de ces réalisateurs sont ainsi récompensés pour leur travail au sein du label en réalisant le clip de Bjork « Innocence ». En 2009, Fred & Annabelle réalise le clip 7th Street, petite perle d’animation 3D.

L’esprit zen part en live !
Depuis ses débuts, Chinese Man c’est aussi une formule live autour de deux DJs et de quatre platines. En quatre ans, les 2 Djs du groupe se sont produits près d’une cinquantaine de fois entre Paris et Marseille, au côté des plus grands noms des musiques actuelles (Sharon Jones, Asian Dub Fondation, RJD2, Amp Fiddler, DJ Qbert…) et sur les plus belles scène, du Printemps de Bourges, au Bataclan en passant par les 10ans de Solidays.

En 2009, le groupe Chinese Man s’attèle à une ré-orchestration en profondeur de ses compositions et propose au public un nouveau show Live où machines, platines, vidéos et 3D s’entrecroisent et permettent aux trois artistes de créer sur scène un espace d’improvisation propice à retranscrire la complexité et l’éclectisme de la musique de l’homme chinois.

Chinese Man broke out on the scene in 2005 with the release of its first EP, « The Pandi Groove EP » (500 units). In 2006 and 2007, “The Bunni Groove EP” and “The Indi Groove EP” are released (1.000 units) and quicly become a critical and commercial success despite their confidential release. Symbolic of the multiple influences of the crew, these first vinyls opened the way for instrumental hip-hop crafted with slices of funk, pinches of dub and a splash of traditional music.

In 2007, Mercedes chose « I’ve Got That Tune » for their advertising campaign for the new « Class A. » Enjoying this wide and new visibility, the label Chinese Man Records release “The Groove Sessions Vol.1”, a first CD release that will be sold up to 10.000 copies in less than 6 month.

Today, Chinese Man Records manages and produces the work of 5 producers and beatmakers, 3 Djs and several videomakers from France and the USA. In 2008, the independent label produced 3 maxi vinyls (Small City Music by Sly – Le Pudding by Leo Le Bug – Hong Kong Dragon Speaking by Chinese Man).

In 2009, the label released “The Groove Sessions Vol.2”. Supported by the Vibrations magazine, the FNAC network and playlisted on Radio Nova, this CD quicly became a new critical, public and commercial success.
Since its creation, Chinese Man Records takes care of the music production and promotion of its artists (on vinyl or on stage), and the production of their own video clips too. In 2008, Fred & Annabelle, two of those directors are rewarded for their creative work with Chinese Man Records and are chosen to shoot Bjork’s « Innocence » video clip. In 2009, they deliver a new wonderful animation video clip on the track 7th Street by Sly from Chinese Man.

The Groove Sessions Live !
Chinese Man also offers a live show with two DJs and four turntables. In four years, Chinese Man has performed more than 100 times, from Paris to San Francisco alongside the biggest names in today’s music (Sharon Jones, DJ Vadim, RJD2, DJ Shadow, Amp Fiddler, Asian Dub Foundation, Bonobo, DJ Qbert…)

The label was also invited to San Francisco to tour the Bay Area in 2007. Upcoming events include a new tour in San Francisco in 2010, the production of a hip hop album with local MCs and a documentary on the Hip Hop Battles universe in the Bay Area.

For 2009, the 3 Chinese Man’s producers and beatmakers prepared a new live show where machines, video, 3D and turntables intersect to give a new life to the Chinese Man productions… They worked on a complete re-orchestration of their productions and created a space for live improvisation where turntables, samplers and keyboards are considered as real instruments, with a simple mission : offer to the audience an enthusiastic show proving the real eclecticism of the Chinese Man’s music.